La géobiologie




GEO (La Terre) – BIOS (La Vie) – LOGOS (L’Etude)
L’étude commence par le terrain, KONTEXT s’assure que le site de construction n’a aucune perturbation géologique en procédant aux études géobiologiques du lieu :
- La géobiologie artificielle mesure l’impact des champs électromagnétiques sur le lieu qui émanent des transformateurs électriques, des lignes hautes tensions, des antennes relais… et mesure l’impact des champs électromagnétiques de l’installation électrique de la construction : compteur, tableau et câblages électriques, WIFI…
- la géobiologie naturelle étudie les influences de la terre et du ciel sur le vivant, la vibration des ondes cosmo-telluriques sur le lieu dans la construction.
Dans le cas de réhabilitation de bâtiments existants, l’agence d’architecture à Lille KONTEXT réalise un diagnostic des installations électriques existantes, un relevé des points pathogènes en géobiologie naturelle et propose des solutions correctives.
Géobiologie artificielle
Le territoire est quadrillé de réseaux électriques de plus ou moins haute tension qui émettent des champs électriques et magnétiques (CEM) de basses fréquences. Il est indispensable de tenir des distances de sécurité entre la construction et les lignes électriques selon les puissances qu’elles émettent.
Les champs électriques et magnétiques (CEM) de hautes fréquences ou d’hyperfréquences se sont largement développés ces dernières années avec l’utilisation de la téléphonie mobile (Antenne relais), des technologies sans fil (WIFI, Bluetooth), du courant porteur en ligne (CPL) et des micro-ondes.
Plusieurs études montrent que ces champs électromagnétiques augmentent les risques de tumeurs, provoquent des ruptures de brins d’ADN et occasionnent une grande variété de symptômes : maux de tête, vertiges, nausées, picotements, fatigue, tensions musculaires, bourdonnements d’oreille, anomalies du rythme cardiaque, problème de concentration, troubles du sommeil, dépression… qui perturbent davantage les personnes électrosensibles.
Des solutions existent pour se protéger de ces CEM : s’éloigner de la source, mettre en œuvre des écrans et réaliser une installation électrique biocompatible.
Géobiologie naturelle
Le premier élément à étudier est l’eau : la présence de cours d’eaux souterrains et leurs berges au droit desquelles le frottement de l’eau contre les parois provoque des courants électriques mesurables de l’ordre du millivolt (mV).
Nombreux sont les troubles observés dans les habitations construites sur des cours d’eau souterrains. Toutefois, tous ne sont pas systématiquement pathogènes.
Ensuite, étudier les failles géologiques qui proviennent de ruptures rocheuses. Les failles créent des zones où le champ de rayonnement naturel est perturbé à la surface du sol avec une influence plus intense que celle des cours d’eau.
Vient ensuite l’analyse des rayonnements telluriques. Du sein de la terre se dégage du noyau central une énergie électromagnétique résultant de la différence de vitesse de rotation entre le noyau central formant le magma et l’écorce terrestre. Ce phénomène engendre une formation de courants telluriques d’origine électrique qui se déplacent à travers les couches géologiques selon les voies de moindre résistance électrique. Ces courants donnent naissances à des rayonnements qui quadrillent la surface de la terre et forment les réseaux dits géomagnétiques.
Le noyau terrestre est essentiellement composé d’un mélange de fer et de nickel, mais il contient l’ensemble des métaux qui rayonnent tous différemment. Nous étudierons les plus communs, nommés ci-après :
Les réseaux cardinaux :
- Réseau Nickel (dit réseau HARTMANN)
- Réseau Cuivre (dit réseau PEYRE)
- Réseau Argent
Les réseaux semi-cardinaux :
- Réseau Fer (dit réseau CURRY)
- Réseau Aluminium (dit réseau WISSMAN)
- Réseau Bronze (dit réseau GRAND DIAGONALE)
Chaque réseau couvre la surface de la planète, à l’exception des pôles. L’intensité de ces courants est variable et ils peuvent perturber l’équilibre des lieux qu’ils traversent. Les réseaux sont indépendants les uns des autres et se croisent de façon aléatoire formant des nœuds qui peuvent être nocifs pour le vivant.